C'est ce qu'on voit le matin en se levant! C'est-y pas beau?
Le contour de la mare en friche, à notre arrivée.
Maurice, le voisin des Gaulmes a fauché (broyé plutôt) le pré pour nous. Ici, Julien dans la première saignée ; on voit bien la hauteur de l'herbe.
Voici le résultat. L'herbe est en train de repousser.
Il y a beaucoup de pierres dans le terrain (ce qui fait dire à notre voisin Jean-Pierre qu'il y a peut-être eu, par le passé, des constructions à cet emplacement; voire un village). Nous en avons enlevé pas mal, cette fois-ci à la main, en ratissant et désherbant. Les racines de prunelier, de ronces, d'orties et de rumex nous ont causé bien des soucis, surtout celles des prunelier : le terrain était une friche et l'a été pendant de nombreuses années. Enfin c'est fait, il est propre et prêt à être cultivé. Nous avons conservé les deux noyers qui se sont invités sur le lieu, ainsi que le petit fusain, qui va sans doute changer de place.
La serre, installée (non sans difficulté) dès notre arrivée, et qui nous permet de stocker tout ce avec quoi nous ne voulons pas dormir (tondeuse, gros outillage...), et offerte par la maman de Julien (un grand merci).
Maurice, le voisin des Gaulmes a fauché (broyé plutôt) le pré pour nous. Ici, Julien dans la première saignée ; on voit bien la hauteur de l'herbe.
M. Jamet en train de labourer (vous pensiez tout de même pas qu'on avait fait ça à la main!?),
... et de passer la herse.
Et voilà.
Notre cher Maurice (encore lui) en train de terrasser les alentours de la mare. Elle était dans un état!!! Le gars qui a fait les travaux il y a quelques années y avait jeté des tas de saloperies en tout genre, et avait l'intention de la combler (ce que je trouve tout à fait stupide, une mare étant une telle source de biodiversité). La pelle de Maurice est, sur cette photo, sur un gros tas (6m par 3 sur 3 de hauteur) de gravas et autres, recouvert d'orties, déversé par un camion benne, et que nous avons bougé contre la maison.
On a bien cru qu'il allait s'embourber tout à fait dans la mare...
Voici le résultat. L'herbe est en train de repousser.
Il y a beaucoup de pierres dans le terrain (ce qui fait dire à notre voisin Jean-Pierre qu'il y a peut-être eu, par le passé, des constructions à cet emplacement; voire un village). Nous en avons enlevé pas mal, cette fois-ci à la main, en ratissant et désherbant. Les racines de prunelier, de ronces, d'orties et de rumex nous ont causé bien des soucis, surtout celles des prunelier : le terrain était une friche et l'a été pendant de nombreuses années. Enfin c'est fait, il est propre et prêt à être cultivé. Nous avons conservé les deux noyers qui se sont invités sur le lieu, ainsi que le petit fusain, qui va sans doute changer de place.
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